A l'initiative du REVILA,, La JUSA, s'est tenue ce lundi 23 Mai 2022 à l'Université FHB de Cocody, ,au sein de l'amphithéâtre Pharmacie. Cette première Edition de la JUSA a été meublée par un panel animé par Mme KOUASSI N'da Anne Marie et Mme CISSE Odia, respectivement de la FAO et du CEFARM
Ce lundi 23 mai 2022, à l'Université de FHB de Cocody, s'est tenue la première Edition de la JUSA, (Journée Universitaire de la Sécurité Alimentaire), à ??l'Initiative du REVILA. Cette conférence a vu la participation effective de la FAO, et du CEFARM, accueillie chaleureusement par les autorités universitaires représentées par le vice-président de l'institution.
Après les civilités, comme à l'accoutumé, et les discours ayant fait allusion à la Cop 15, sur la désertification et la sécheresse, qui sont venus de s'achever, le vendredi 20 mai, il a été question de présenter le tableau général de la faim et de la malnutrition, en Afrique et en Côte d'Ivoire, puis de faire ressortir les Rôles joués respectivement par la FAO et le
CEFARM, précisément en Côte d'Ivoire, afin de parvenir à une sécurité alimentaire nationale efficace.
Pour les conférencières de cette journée, représentant la FAO et le CEFARM, respectivement Mme KOUASSI N'da Anne Marie et Mme CISSE Odia, il était important pour les auditeurs de pouvoir faire la différence entre la souveraineté alimentaire et la sécurité alimentaire. Il était aussi important pour cet auditoire, composé en majeure partie des étudiants, de s'impliquer dans ce monde de lutte contre la faim et la malnutrition, qui se trouve être une sphère regorgeant d'opportunités à la fois innombrables et diverses, en étant innovantes et développées de nouvelles chaînes de valeurs dans les systèmes d'agroalimentaires traditionnels déjà existants. Comme quoi, de la fourche à la fourchette, il y a de nombreux emplois qui peuvent être créés, tout en étant une solution alternative et ou palliative pour l'acquisition de la souveraineté alimentaire en Côte d'Ivoire, voire en Afrique.
Selon les conférencières, le défi serait assez grand, mais avec la volonté politique manifeste de l'Etat, qui ne ménage aucun effort, et la contribution de tous les fils et filles de la Côte d'Ivoire en particulier mais de l'Afrique en général, il est possible de faire basculer la tendance, surtout si les jeunes, les étudiants se lèvent, réfléchissent et mettent à contribution leurs savoirs.